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Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/345

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DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 329 I r r . • Y •—-•——· blêe, PTOPOSGG 'PHP le PI‘€l3.là ll y 8. POHIÈBHÈ llll tour et I 67 4 UD ÈOD. il ('lOIlIlCI‘, Iï10y€DI13.Ill'· (IU.Ol C€‘l.3 IIOUS S€I`VlI`â· M. de Pompone ne vint point la dernière semaine; il U • • • r m envoya çleprxer de diner : ce Sem pOur samedi, Il faudra prendre conseil de votre manière d`agir avec ce‘l\/Iarinli. Tai appris qu°il n°a pu se clédire cle la pre- mière présidence, et que cela va son train: le mariage n°est pas si ‘3SS1lI'é. .. ” _ Mais voilà le chevalier de Grignan qui vous dira le restew. nu cuavsniun nn cnxemm "‘. Je ne sais que la mort cle la pauvre chirurgien- apprennent en outre que les commis du ministre avaient leur part dans les générosités de la rovince : « .... l’Assem.blée délibère ue P (I Messieurs les procureurs du pays feront ledit présent aocoutumé de quatre cents louis d’or à. mondit seigneur le marquis de Torcy et cinquante louis •:l’or à }lIessi«.·m·.s· sa.: commis. :> 12. Arnoul Marin, nommé premier président au parlement d’Aix. Voyez, pour Pintelligence de la phrase qui suit, la note 6 de la lettre précédente; il s’agissait du mariage cle sa sœur. I3. Cette petite phrase, mise pour annoncer Papostille qui suit, avait été supprimée par Perrin, qui seul des anciens édi- teurs a donné une partie de la lettre, et qui n’avait pas jugé à pro- pos de publier Papostille. Mais cette même phrase, que l’ancien éditeur avait rctranchée à dessein, le copiste du Grosbois l'a trau- ` scrite, par mégarde, à la suite du fragment de la lettre qu’il 21 re- produit, quoiqtfelle n’eût nupun rapport avec ce fragment. Du Grosbois la phrase a passé dans le texte établi par les derniers écli- teurs (voyez la En de Yavant-dernier alinéa de la lettre imprimée, III, 396), ou, sans avoir un sens bien précis, elle pouvait faire soup- çonner Pexistence de la petite lettre, à tort dédaignée, qui la sui- vait, et qui est publiée ici pour la première fois. I 14. Cette apostille est d‘autant plus intéressante, qvfil s’est con- servé très-peu. de lettres du chevalier de Grignan, dont le nom reparnît si souvent dans la correspondance de Mme Sévigné. Il est lcertain cependant qu’il écrivait assez fréquemment à sa belle- l sœur; notre lettre elle-même en fait foi, et on en trouve d’ailleu1·s