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DE MÀDAME DE SÉVIGNÉ. 357

 ····—· DE MADAME DE SÉVIGNÉ, DE MADAME DE VINS 'I' 6"""‘__ 5 C

l ET DE M. DE COUBTIN A MADAME DE GBIGNANÈ · A Paris, vendredi 1’Q°jl1lll€l2?'. DE MADAME DE SÉVIGNÉ. JB Cl‘0lS C-[UC I1OI.l.S V(EIl(lI`OIlS IIOlÉI`C lJU.I‘CB.ll3 Z si CCl£l est, laissez-moi faire, notre lit se commencera. Je vou- drois bien que vous eussîez un bon cocher, cela me paroit important : vous étiez bien recommandée â la moustache cle celui du Cardinal; vous ne l’eussiez pas 'lZI‘O'(lVé UD gl"OS S€lg'Il€`llI‘l'· JE DG COmPl`CHdS PES HVCC quel équipage vous fûtes à Pierrelatc 5. Lmrrnn 34 (fragments et billets inédits). —-— 1. Ces fragments font partie de la lettre 418 (HI, 517); la lettre entière se trouve dans notre manuscrit, tome IV, pages 381 et suivantes; le Grosbois n’en renferme aucun extrait. 2. Perrin, le seul des anciens éditeurs qui ait donné cette lettre, -—qui n’a été publiée que dans Péclition de 1754,-1:1 date, ainsi que nous le faisons ici, du IQ juillet. Notre manuscrit porte cependant t1*ès—nettement: cc Vendredi 18** juillet »; mais Mmc de Sévigné s'est trompée sur le quzmtième, ce qui lui arrive quelquefois. En effet Pannes se trouve parfaitement fixée par le contenu de la lettre, et notamment par la procession dont il est question au début (voyez la partie imprimée de la lettre, HI, 518), à laquelle Mme de Sévigné avait assisté le jour même ou elle écrivit. Cette procession eut lieu en effet le IQ juillet 1675. La rectification de Perrin est donc parfaitement exacte, et la faute qui se trouve dans notrc manuscrit prouve seulement que ce dernier, comme nous l’a1‘0ns surabondamment établi ailleurs (voyez Plntroduclion , pages 47 et suivantes), est antérieur à la publication des lettres. . 3. Voyez le commencement du second alinéa de la lettre 32 ci- dessus et le 3* alinéa de la lettre 35 cbaprês. 4. Voyez ci-dessus la lettre 30, note 2I, et la lettre 32, note 23. 5. Petite ville du Dauphiné. Mme de Grignan y était allée au-