DE MADAME DE SÉVIGNÉ. Eg: M., de Pompone et lu ce que _}’é,eri.vois de Fentrée vie [W5 Passemblée; il trouve que cela est mal “, et apparem- mm!. *21 ue, eœvzat ps, «zIs2t"i2e2k de inne ·;·ùgh:1 czerm, tt? ` làire. t ‘ ‘· ·‘ · _ Je prie Dieu que votre rhume soit guéri; je vous em- brzzsse eme une vèziteble tendresse; je Fais une ccmitîé a M. de Grignan, et je vous présente les respects du . . bien Eon. L Mlle du Plessis, que voilà, vous assure de ses ser- vices : elle et des soins de xnoi edxnirslales. tenu de donner au comte de Grignan, quand on allait lui rendre compte, comme gouverneur, cle ce qui s’étàit‘ pàssé 'dans les séances de l’Asscmblée des Communautécs (voyez plus loin la note 4 de la lettre.·61j, titre nnsujei duquel les évêques et ïintendant îul-même avaient élevé, paraîtâl, des difilcultés; voyez. la lettre de Mme de Sé- vigné, au comte de Guîtaut, du 16 novembre précédent (lettre 389, HI, 425). 6. Les évêques prétendaient avoir le pas, xl Pentrée de Passem- blée, sur le lieutenant général de Roi, zfexercant que par délégation les fonctions de gouverneur; cette prétention n’aycmt pas été ad- mise, ils s’abstenaîent dïzœister à la séance d’onverture, la seule à laquelle le gouverneur eût le droit de prendre part (voyez plus loin la note 4 de la lettre 6I)· C'est à cette abstention désobligeante que false}: été allusion Mme ée Sérêgrzè, qui azz pzeâe }OIl’§'(Z€M6’(2Z .2}}- leurs ; voyez la lettre du 3 novembre précédent, 2** alinéa (lettre 564, IV, mo, note 4). Il sera plusieurs Fois question de cette affaire (lans les lettres suivantes; voyez notamment plus loin la lettre 55, note 3, et la lettre 57, note 2. ' `·
