[,52 LETTRES INÉDITES "îô_"6"' Croiriez-vous que, entre Yablsé de Grignan et l°al>bé I n · ·` ' ¤ · de Coulonges, ce fût ce dernier qui fût un etourdi? xl avoit le blanc-signé, et il n`y pensoit pas" : ce ne sera pluâ cela qui retardera votre pension. ^ A cinq heures du soir. I Je suis toujours allligée de mon paquet perdu : je pense que mes réponses à Mme de la Garde et à M. de Boquesante y étoient. Le bien Bon est tout à vous. Ayez quelqu UD. de 1‘3lSOll[18l)lC qlll VOUS COI](J.lllSC12« Je suis toute à vous, ma très-bonne et très-chère; je Vous embrasse avec une tendresse que je nc saurois ‘ A I mol.-meme vous representcr. Mme d'Amboile“ est accouchée d’un garcon", au _ · bout cle neuf mois de mariage : le jeune TolJie“ en Ir. Voyez la lettre précédente, note 52. _ 12. Mme de Grignan devait venir prochainement à Paris, sa mère Pespérait du moins; elle n’y arriva que le 22 décembre; I voyez la note 2 de la lettre 603 (V, 155) et le commencement de la lettre 605 (V, 15;); voyez aussi la fin du I'-"' alinéa de la let- tre 592 (`V, 121). A 13. Éléonore le Maître, veuve de François Leroy, conseiller au 5 Parlement, mariée en secondes noccs à André le Fèvrc c`l’Ormesson ‘ d’Amboile, Els d’OIivier le Fèvre cl`Ormesson, le courageux rap- porteur du procès Fouquet. André d’Ormcsson fut nommé inten- dant â Lyon en 1682, et y niourut en 1684. Sur son mariage, voyez la note 16 de la lettre du 1:5 décembre 1675 (lettre 47;, IV', 280). Cette note porte, -—-· sans doute par erreur, -— que le mariage cut lieu le 15 février ;à c’est probablement le 15 janvier qu'il avait été célébré; sans cela, ce n’est pas au bout de neuf mois de mariage, comme le dit ici Mme de Sévigné, mais au bout de huit, que Pac- couchement aurait eu lieu. xi. Ce fils fut Henri-François de Paule, baron de la Queue, qui fut, dit-on, un magistrat fort estimé; voyez la note 2 dela lettre du 8 mai :676 (lettre 634, IV, 441).
- 5. Par lc jezmc Taha, Mme de Sévigné désigne sans doute le
