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5 , - Les productions de Pesprit, les œuvres littéraires
surtout, marquées au coin du véritable génie, sont
"l si rares, que leur perte ou leur déformation 'font . toujours naîtreide vifs regrets. (511 voudrait ressai- , X sir des biens si précieux ; on voudrait pouvoir faire Il revivre ces œuvres délicates, détruites. oumutilées t parle temps, ouucorrompues par"la négligence ou · la barbarie; ' on ivoudrait pouvoir les rendre en-ar . tières et dans tout leur éclat au public qui en a été _ , déshérité. De là cesivœux, ces souhaits qu’on en- tend si souvent, et qui¤n’ont vraiment d’autre tort que celui d’être, hélasl trop rarement exaucés: _ `« Si je trouvais une comédie de Ménandrer l... Si et _j’avais, la bonne fortune de découvrir quelque œuvre ignorée ou seulement quelques belles pages e , d°un denos grands écrivains!". >> -_ I Hegrets inutiles, souhaits presque toujours su- perfl us! L . Un de ces soubaits s’est pourtant réalisé pour nous, et certes bien au delà de nos espérances. Un manuscrit précieux, contenant une partie considérable de la correspondance de Mme de il Mam bx: Sév. Lxarr. mém. r ` A _
