Page:Sablé - Maximes, 1870.djvu/37

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Pour finir enfin son eloge, on peut dire d’elle qu’elle a esté l’ornement de son siecle, les délices de ses amis, un bien général, et qu’elle laisse par sa mort un si grand vuide dans le monde, pour les personnes qui avoient le bonheur de la voir et de la connoistre, qu’il n’y a pas lieu d’esperer qu’on le puisse jamais remplir dignement.