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Page:Sacher-Masoch - La Femme séparée, 1881.djvu/163

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LA FEMME SÉPARÉE

leuses éclatèrent autour de moi. Les oreilles me sonnaient ; j’entendis des voix et des rires, ceux des esprits moqueurs peut-être.

» Je me promenai sous sa fenêtre durant toute la nuit, regardant la lueur mate que répandait sa veilleuse et rêvant le cœur plein d’aise. »


FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE.