Page:Sade - Aline et Valcour, ou Le roman philosophique, tome 1, 1795.djvu/21

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Avis de l’éditeur.

à peine en pourrons nous répandre à Paris, et nous sentons déjà le regret de ne l’avoir pas multipliée d’avantage. Nous exhortons ceux qui n’auront pu s’en procurer des exemplaires à prendre un peu de patience, la seconde édition est déjà sous nos presses.

Cependant nous aurons des critiques, des contradicteurs et des ennemis, nous n’en doutons pas ;

C’est un danger d’aimer les hommes,
C’est un tort de les éclairer.


Tanpis pour ceux qui condamneront cet ouvrage, et qui ne sentiront pas dans quel esprit il a été fait : esclaves des préjugés et de l’habitude, ils feront voir