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Page:Sade - Aline et Valcour, ou Le roman philosophique, tome 3, 1795.djvu/593

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cisions, dont on a bien voulu me faire part, feront le sujet de ma première lettre : il me semble qu’en voilà quelqu’unes de suite, dont la longueur mériterait des excuses, si ce qu’elles contiennent ne dédommageait pas un peu, selon moi, du tems que l’on perd à les lire. Je t’embrasse.

Fin de la sixième partie.