Aller au contenu

Page:Sade - Cahiers personnels, Adélaïde de Brunswick, Pauvert, 1966.djvu/89

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
69
JOURNÉES DE FLORBELLE


le huitième dialogue, qui sera pris de la fin du deuxième volume de la Philosophie dans le boudoir. Mort de Mme de Mirval (2) : à la marquer d’après ce plan. Avec la fin de l’histoire de Modose finira la neuvième journée ; avec le premier d’Amélie (3) finira la dixième journée, laquelle a commencé par le supplice d’Eudoxie, sans dialogue. Avec le deuxième d’Amélie finira la onzième journée, sans dialogue[1].

Avec le troisième d’Amélie finira la douzième journée, sans dialogue.

Avec le quatrième et dernier d’Amélie finira la treizième journée, sans dialogue. Alors commencera le huitième dialogue, mais on pourra se permettre des interruptions[2].


[8.]

Il faut observer que je destine les vingt cahiers de l’histoire de Valrose à former l’histoire d’Amélie, et qu’il faut faire raconter à la femme Amélie tout ce que je mets dans la bouche de l’homme Valrose[3], de manière que la totalité de cet ouvrage sera composée de huit dialogues, de treize journées, d’un traité de morale, d’un de religion, d’un sur l’âme,

  1. En marge : Cela est fait à l’exception des détails de la mort de Mme de Mirval sur lesquels on a jeté un voile.
  2. En marge : On a fini l’histoire d’Adèle (4) tout court.
  3. En marge : Fait.