Page:Sade - Justine, ou les Malheurs de la vertu.djvu/9

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


JUSTINE,


OU

LES MALHEURS

DE LA VERTU.


Ô mon ami ! la prospérité du Crime est comme la foudre, dont les feux trompeurs n’embélissent un instant l’atmosphère, que pour précipiter dans les abîmes de la mort, le malheureux qu’ils ont ébloui.



EN HOLLANDE,
Chez les Libraires Aſſociés.


1791.