à l’unanimité au Théâtre-Français en septembre 1798, ce qui lui valut ses entrées pendant cinq ans ;
Le Capricieux ou l’Homme inégal, reçue au théâtre Louvois et retirée par l’auteur ;
Les Jumelles, 2 actes en vers.
Les Antiquaires, 1 acte en prose.
2o Quatre drames, un en 5 actes et trois en 3 actes :
Henriette et Saint-Clair ou la Force du sang ;
L’Égarement de l’inforlune ;
Franchise et trahison ;
Fanny ou les Effets du désespoir ;
3o Jeanne Laisné ou le Siège de Beauvais, tragédie en cinq actes, refusée au Théâtre-Français, par huit voix contre trois, parce qu’on y faisait l’éloge de Louis XI.
4o L’Union des arts, ambigu comprenant cinq pièces : 1o un prologue qui relie le reste, soit Les Ruses d’amour, comédie épisodique, 1 acte en prose ; 2o Euphémie de Melun ou le Siège d’Alger, tragédie en 1 acte et en vers ; 3o L’Homme dangereux ou le Suborneur, comédie en 1 acte en vers de dix syllabes, reçue au théâtre Favart en 1790 ou 1791 ; 4o Azelis ou la Coquette punie, comédie-féerie en 1 acte en vers libres, reçue au théâtre de Bondy en 1791.
Le tout se termine par un divertissement.
5o Tancrède, scène lyrique en vers ;
La Tour mystérieuse, opéra-comique en 1 acte ;
La Fête de l’amitié, prologue ;
L’Hommage de la reconnaissance, vaudeville en 1 acte, écrit pour être joué à Charenton.
Toutes les autres pièces, ainsi qu’Oxtiern, ont été composées à Vincennes et à la Bastille.
6o Un devis raisonné sur le projet d’un spectacle de gladiateurs à l’instar des Romains auquel il devait être intéressé.
7o Isabelle de Bavière, reine de France, 3 vol. ;
8o Adélaïde de Brunswick, princesse de Saxe, 2 vol.
Ces romans ne contenaient rien de répréhensible.