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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 1, 1797.djvu/300

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malheur de vous ménager ; l’attitude s’arrange ; mais Rodin, pendant qu’il opère, veut que sa sœur le branle sur les fesses de sa fille, et que Marthe le fouette. Qui le croirait ? Fierval, digne élève de Rodin, n’annonce aucune envie de ménager sa sœur ; excité par les coups qu’il reçoit lui-même, le petit libertin la frappe à tour-de-bras : allons, mon ami, dit Rodin, fous ta sœur, encule-là ; rien n’est délicieux comme de foutre un cul qu’on vient de fouetter ; viens, que je te conduise, que je devienne le premier agent de ton voluptueux inceste ; et le saisissant par le vit, il l’attire près du derrière de Léonore, mouille lui-même avec sa bouche et le vit du jeune homme, et le cul de la victime, les unit, leur apprend à se baiser en se foutant de cette manière, place la main du jeune homme au clitoris de la patiente, et se dispose alors à sodomiser lui-même le fouteur : monte sur les reins de Fierval, dit-il à Rosalie, je gamahucherai ton cul en foutant celui de cet Amour ; Marthe, continue de me fouetter, et que ma sœur remplisse ma main de ses belles fesses.

Oh, foutre ! quelle jouissance ! s’écrie le paillard en la savourant, en peut-il être de