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enivré, ose goûter les plus doux plaisirs au sein de l’inceste et de l’infamie.

Un moment de repos succède à ces orgies : on entoure Rodin, on le caresse ; l’une s’efforce à le rendre à la vie par la chaleur de ses baisers lascifs ; celle-ci presse son vit, le décalotte et le secoue légèrement, pendant qu’une troisième chatouille le trou de son cul, et qu’une quatrième offre son beau derrière à toutes les caresses qu’il lui plaît d’inventer ; le jeune Fierval lui fait sucer son vit. Tant de soins raniment bientôt notre moribond ; Marthe, qui le branlait, en montrant l’état du patient, félicite chacun de ses succès. Vous voulez me tuer à force de plaisirs, dit Rodin ; eh bien, j’y consens ; il est doux d’expirer ainsi. Célestine, fous sous mes yeux, je t’en prie, avec le jeune Fierval, et que Léonore, sa sœur, agenouillée entre tes jambes, suce ton clitoris ; pendant ce tems-là, Rosalie et Marthe me branleront, l’une le cul, l’autre le vit, en face de l’opération, et sois sûre que ton foutre aura bientôt déterminé le mien.

Mais Rodin augurait beaucoup trop de ses forces ; sa sœur avait déjà déchargé six fois, avant que le triste vit de Rodin eut seulement