Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 10, 1797.djvu/136

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large en avait-il besoin ! Elise et Raimonde lui font baiser leurs fesses, il manie de droite et de gauche celles des deux petits garçons, dont la Durand et moi suçons les vits. Du cul, Cordelli passe au con, et les objets varient sous ses doigts ; son homme décharge : il appelle l’autre ; celui-ci, pour le moins aussi bien fourni que son camarade, mais plus effrayant encore, s’il est possible, sodomise vigoureusement son maître, et lui décharge deux fois dans le cul, et les orgies commencent à prendre une plus sérieuse tournure.

Allons, sacre-bougre de Dieu, dit notre homme en colère, il me faut des crimes, des horreurs, ce n’est plus qu’à ce prix que obtiendrai de nouvelles éjaculations ; et sur ce point, mon égoïsme est tel, que dût-il en coûter la vie à tous tant que vous êtes ici, je vous immolerais tous à l’instant pour obtenir une bonne décharge. Par qui vas-tu commencer, scélérat, dis-je alors ? — Par toi… par une autre… par je ne sais qui ; que m’importe pourvu que je bande ? croyez-vous donc qu’il en soit ici, dont les jours me soient plus précieux les uns que les autres ? Allons, voyons cette garce-ci, dit le pen-