Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 10, 1797.djvu/164

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vous expliquer ma passion ; rien de fait si elle ne vous convient pas : tout mon plaisir consiste à voir foutre, c’est cela seul qui me met en train ; je serais absolument nul si je ne m’enflammais au spectacle des jouissances d’autrui ; vous me fournirez six beaux hommes qui vous enconneront tour-à-tour sous mes yeux ; je m’amuse avec eux pendant qu’ils vous foutent, et sitôt qu’ils vous ont déchargé dans le con, j’avale avec grand soin, le foutre qu’ils vous ont lancé dans le vagin ; votre art doit consister à faire l’impossible pour me le rendre dans la bouche ; cette opération finie, vous m’offrez le derrière ; je vous sodomise pendant que vos six hommes m’enculent tour-à-tour ; dès que le sixième a déchargé, je sors de votre cul, je m’étends sur un lit ; vous vous posez à califourchon sur moi, et vous me chiez dans la bouche, pendant qu’un des hommes vous gamahuche le con, qu’un second vous enfonce la langue dans la bouche, que le troisième se branle devant moi, que le quatrième me suce le vit, et que j’en branle un de chaque main ; aussitôt que votre étron part, je le mange : cela fait, je me relève ; vous prenez mon vit dans votre bouche,