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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 3, 1797.djvu/335

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ques de six claques assez bien appuyées. — Avez-vous enculé ? — Non, je la ménageais. — Avez-vous desiré le cul ? — Oui. — : Votre foutre a-t-il coulé ? — Non. — Votre tête s’est-elle échauffée sur cette jeune fille ? — Étonnamment. — A-t-elle baisé votre cul ? — Elle y a mis la langue. — Lui avez-vous mis le vit dans la bouche. ? — À plusieurs reprises. — Quel est l’état de votre vit ? — Il bandaille. — Choisissez quelqu’un pour vous maintenir.

C’est votre tour, Dorothée. — Je me suis fait foutre par Constant. — Vous l’a-t-il posé dans le cul ? — Oui. — Bandait-il bien ! — À merveille. — A-t-il déchargé ? — Non. — Où donc a-t-il perdu son foutre ? — Je l’ai avalé. Avez-vous baisé son cul ? Oui. — A-t-il sucé votre clitoris ? — Je le lui ai mis dans le derrière. — Vous avez desiré pis ? — Oh ! cent fois.

À mon tour maintenant, mes amis, dit Verneuil en se levant. Vous m’avez vu passer avec ma sœur Marceline, escortée de ses deux petits enfans, fruit de mon inceste avec l’enfant de ma sœur : eh bien ! Marceline m’a fouetté, j’ai baisé le cul de mes petits-enfans, j’ai mis mon vit entre leurs cuisses, et