Bressac caresse sa tante à grands coups de poing dans le nez ; elle en saigne ; il la sodomise… lui tire les oreilles jusqu’à lui fendre la peau, et revient, comme d’Esterval, enculer le charmant Victor.
Verneuil s’approche : on croit sans peine qu’il ne ménagera pas sa femme ; il la bat, la pince, la moleste ; et c’est dans le beau cul de Cécile qu’il appaise aussi-tôt son ardeur.
À toi, Victor, dit-il à son fils ; voyons comme tu traiteras ta mère ; admires sous tes yeux un parent qui ne marchanda pas si long-tems la sienne : ô Bressac ! encouragez votre neveu à vous imiter un jour ! Le jeune Victor se présente : c’est sa mère, qu’un père féroce et brutal lui ordonne d’insulter ; et c’est sa sœur qui va lui servir de récompense. Hélas ! le jeune enfant ne se prête qu’avec trop de complaisance aux infamies qu’on ose exiger ; il n’est pas besoin de lui rien prescrire. Belle maman, dit le petit libertin, je sais ce qui vous désespère ; trouvez bon que je l’entreprenne ; tournez-moi ce beau cul, pour que j’en jouisse de toutes les manières qui vous vexent le mieux. Il n’y avait pas à résister ;