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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 4, 1797.djvu/143

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comme tu bandes… Conviens, Pauline, que voilà ce qui s’appelle un superbe engin. Tiens, je l’avoue, ma chère ; je jouirai toujours plus voluptueusement de te le voir mettre par un vit comme celui-là, que de te foutre moi-même. Si j’avais été marié, je n’aurais pas eu de plus grand plaisir que de me voir cocufié par un engin de cette espèce. — Infâme libertin, répondit père Ives en déboutonnant la culotte de son confrère, dont le froc était déjà au diable, conviens qu’il est encore un endroit où tu aimerais mieux voir ce vit-là, que dans le con de ta maîtresse ? — Où donc ? — Dans ton cul ! mon ami ; dans ton cul ! — Cela est vrai, dit Siméon ; regardes-le ce cul, dont tu parles ; vois comme il est beau ; balayes-le donc un instant, avant que d’entrer dans le con de ma garce. — Tiens, jean-foutre, te voilà content, dit père Ives en couchant Siméon sur un canapé, et lui dardant son nerveux engin dans le cul. — Ah ! foutre !… foutre ! s’écrie mon père en contrefaisant la putain, et frétillant comme une anguille ; oui, sacre-Dieu, voilà ce que je voulais. Et le paillard, faisant aussi-tôt glisser une des jeunes servantes sous lui, l’enconne, pendant qu’on l’encule ; mais ces attaques n’étant que des pré-