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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 4, 1797.djvu/280

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quel on voyait que ces flagorneries obtenaient le plus grand succès, fit un signe à Justine, qui, s’approchant aussitôt, reçut l’ordre de se coucher à plat-ventre sur un canapé, afin de prêter son derrière aux introductions du vit épiscopal ; mais ce n’est pas sans d’incroyables peines que sa monstrueuse poutre parvient à s’introduire dans un aussi petit orifice : il y est à la fin niché. Eulalie, conduite par l’abbé, est en même-tems étendue sur les reins de Justine, les jambes en l’air, et la tête en bas, de manière à ce que l’enculeur de Justine puisse baiser la bouche d’Eulalie, dont les cuisses ouvertes offrent à l’aumônier un joli petit con-vierge, que celui-ci gamahuche, pendant que la Dubois, agenouillée devant son derrière, lui rend le même service au trou du cul.

Cependant Justine, horriblement tourmentée par le vit qui la sodomise, fait tout ce qu’elle peut pour se dégager, et y réussit à la fin. Oh ! double-foutu-Dieu, dit l’évêque en colère, jamais encore aucune femme n’osa me manquer à ce point. Abbé, que dis-tu de la sottise ?… Il n’est point de punition assez grave pour s’en venger, monseigneur, répond le chapelin ; si cette coquine n’avait encore