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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 5, 1797.djvu/176

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tiable ; faites couler au fond de ce cul libertin de nouveaux jets de sperme, qui rafraîchissent, s’il est possible, la brûlante ardeur qui le dévore : viens, Juliette, je veux sucer ton con, pendant qu’on m’enculera ; Volmar accroupie sur ton nez, te présentera tous ses charmes, tu les lécheras, tu les dévoreras, pendant que ta main droite branlera Flavie, et que ta gauche claquera les fesses de Laurette. Cette nouvelle scène est encore exécutée. Les deux amans de la Delbène la sodomisent tour à tour. Inondée du foutre de Volmar, le mien coule très-abondamment dans la bouche de la supérieure, et l’on procède enfin à la défloration de Laurette.

Destinée à jouer le rôle de grand-prêtre, on me revêt du membre postiche. Par les ordres barbares de l’abbesse, c’est le plus gros que l’on préfère ; et tel est l’arrangement de cette séance à la fois lubrique et cruelle.

Laurette est liée sur un tabouret, en telle sorte que son croupion, soulevé par un coussin fort dur, repose seul sur ce petit siège ; ses jambes, très-écartées, sont contenues de même à des anneaux par terre, et ses bras pendans de l’autre côté le sont également. En cette attitude, la victime présente dans