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frétillantes, nous fîmes jaillir des torrens de foutre. Ste.-Elme approche, elle s’étend sur le lit, me fait asseoir sur son visage ; et pendant que son nez branle le trou de mon cul, sa langue s’enfonce dans mon con ; courbée sur elle par mon attitude, je puis le gamahucher de même : je le fais ; mes doigts chatouillent son cul, et cinq éjaculations de suite me prouvent que le besoin qu’elle annonçait n’était pas illusoire. Je le lui rendis complètement ; jamais encore je n’avais été plus voluptueusement sucée. Volmar ne veut que mes fesses, elle les dévore de baisers, et préparant la voie étroite avec sa langue de rose, la libertine se colle sur moi, m’enfonce son clitoris dans le cul, se secoue long-tems, retourne ma tête, baise ardemment ma bouche, suce ma langue et me branle en m’enculant. La gueuse ne s’en tient pas là ; m’armant d’un godmiché qu’elle même fixe le long de mes reins, elle se présente à mes coups ; et les dirigeant au derrière, la coquine est sodomisée ; je la branlais, elle pensa mourir de plaisir.

Après cette dernière incursion, je fus prendre le poste qui m’attendait sur le corps