Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 6, 1797.djvu/230

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miner les attraits des trois petites filles, qui ne se sont encore présentées qu’en gros à ses yeux ; il touche et caresse leurs culs un quart-d’heure ; il les sépare, il les rassemble, il les compare ; je le branlais pendant ce tems-là ; il convient en un mot que jamais mon choix ne fut plus heureux. Fulvie surtout lui paraît adorable ; je l’enculerais, dit le paillard, si je ne craignais pas de décharger ; après cette revue, il desire de faire celle des quatre femmes ; Palmire l’enchante ; il n’a, dit-il, jamais rien vu de si beau, et les superbes fesses de cette belle fille font ses délices pendant plusieurs minutes. Ordonne, me dit-il, à toutes ces putains de se mettre à genoux en demi-cercle autour de moi ; de venir ensuite dans la même posture adorer mon vit, et le sucer l’une après l’autre : l’arrêt s’exécute, et chacune reçoit deux soufflets en tetant son engin. Allons, dit-il, dès que c’est fait, il faut que mon derrière ait son tour, que toutes dans le même ordre viennent le lécher et l’adorer ; il suce des vits pendant ce tems-là sans en excepter comme vous imaginez bien, ceux de Cloris et de Delcour. Il est tems, dit-il, Juliette, de terminer cette première scène ; le scélérat