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au plaisir, de manière que l’examen fait, nous puissions retrouver en attitude sous nos yeux, chacun de ces fouteurs entouré d’une femme et d’un garçon.

Le premier tableau s’exécute : nous passions alternativement de l’un à l’autre de ces libertins. Nos fesses étaient baisées, palpées, mordues, pincées, et nous nous rangions, sur-le-champ autour d’un des fouteurs, en observant qu’il n’y eût jamais qu’un homme et qu’une femme auprès de chacun.

Maintenant, dit le maître des cérémonies, il faut qu’un petit garçon agenouillé entre nos cuisses, nous suce le vit ; un des grands nous faira sucer le sien ; en avant de lui pour l’exciter il gamahuchera le cul d’une femme ; nous aurons sous nos mains, à droite le vit d’un fouteur que nous branlerons, à gauche les fesses d’un petit garçon, et les deux autres femmes placées à côté de nous et un peu au-dessous, nous chatouilleront les couilles et le trou du cul.

Pour la troisième scène, dit Bernis, nous resterons couchés comme nous voilà ; ce seront des femmes qui nous pomperons, deux petits garçons agenouillés sur nos