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voudrais, quand j’en ai joui, les faire mourir dans les plus effrayans supplices. Les hommes s’emparent des filles ; ils les contiennent dans le plus grand écartement possible, et Catherine, fustige à tour de bras, toutes ces malheureuses, dans le vagin ; elle en fit jaillir des flots de sang. Les filles tinrent ensuite les hommes, que Catherine étrilla fortement sur le vit et les couilles. Qu’ai-je besoin maintenant de tout cela, disait-elle ? cela ne bande plus, ces tripes ne sont plus bonnes que pour les vers ; jouis de tous ces individus, Borchamps, me dit-elle, je te les abandonne, et vais t’observer à mon tour,

Par mes soins, les filles font rebander les hommes, et je suis encore foutu deux fois de chacun, je passe mon vit dans tous les culs, j’arrange différens tableaux, et Catherine se branle en m’examinant.

En voilà assez, me dit-elle, passons à des choses plus importantes ; les victimes entrèrent ; mais quelle fut ma surprise, en voyant un de ces jeunes hommes ressembler si parfaitement au fils de impératrice, que je crus un moment que c’était lui. J’espère, me dit-elle, en voyant ma surprise, que tu