Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 9, 1797.djvu/226

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ferme qu’il fût possible de voir. Je m’oppose à cet arrangement, dit Clairwil, c’est pécher contre toutes les loix divines et humaines, que d’empêcher Carle de dépuceler son fils : cet enfant va me foutre en cul, sa mère me branlera, et le père enculera son fils, pendant que Lise et Raimonde lui donneront le fouet, et qu’il maniera de droite et de gauche les fesses de Borghèse et de Juliette, qui donneront le fouet aux deux jeunes filles de Carle sous les yeux de Borchamps, enculé par Sbrigani, et aidant à l’opération flagellatrice des deux enfans de son ami. La scène s’arrange, le jeune Francisque, parfaitement enculé par son père, sodomise au mieux mon amie ; mais ce n’est qu’en pleurant, que Rosine se prête à des indécences qui paraissent aussi loin de ses mœurs ; le capitaine, pendant tout cela, ne se trouvant point assez lié au tableau, toujours foutu par Sbrigani, s’empare de la plus jeune des filles de Carle ; et sans aucune préparation, le paillard l’encule, en jurant ; la jeune fille s’évanouit ; rien ne dérange le capitaine, s’enfonçant plus que jamais, parce qu’il ne trouve plus de résistance, on eût dit qu’il voulait pourfendre