Page:Sade - Les 120 Journées de Sodome, éd. Dühren, 1904.djvu/477

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97. Il lui dégoutte de la cire d’Espagne sur les fesses, dans le con et sur la gorge. 98. Il la saigne du bras et n’arrête le sang que quand elle s’évanouit. Curval propose de saigner Constance à cause de sa grossesse. On le fait jusqu’à l’évanouissement, c’est Durcet qui la saigne ; ce soir-là, on livre Sophie pour le cul et le duc propose de la saigner, que ça ne peut pas lui faire aucun mal, au contraire, et de faire du boudin de son sang pour le déjeuner ; on le fait, c’est Curval qui la saigne, Duclos le branle pendant ce temps-là et il ne veut faire la piquure qu’au moment où son foutre échappe, il le fait large, mais il ne le mange pas ; malgré tout cela Sophie a plu à l’évêque, qui l’adopte pour femme et répudie Aline, qui tombe dans le plus grand discrédit. — Le vingt et un. [399 —
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99. Il la saigne des deux bras et veut qu’elle soit debout quand le sang coule, de temps à autre il arrête le sang, pour la fouetter ; ensuite, il rouvre les plaies, et le tout jusqu’à l’évanouissement, il ne décharge que quand elle tombe, avant il fait chier. 100. Il la saigne des quatre membres et à la jugulaire, et se branle en voyant couler ces cinq fontaines de sang. 101. Il la scarifie légèrement sur les chairs et surtout les fesses, mais point les tetons. 102, Il la scarifie fortement et surtout sur le sein près du bout, et près du trou du cul, quand il en est aux fesses ; — ensuite il cautérise les plaies avec un fer rouge. 103. On l’attache à quatre pattes comme une bête féroce, il est recouvert d’une peau de tigre, en cet état on l’excite, on l’irrite, on le fouette, on le bat, on lui branle le cul, vis-à-vis de lui est une jeune fille très grasse, nue et fixée par les pieds au parquet et par le con au plafond de manière