tuer la fille avec un cordon serré autour du col, que de la voir souffrir de tourments affreux, mais quand il va s’y préparer, on le lie, on le garotte et on écorche sa fille devant lui que l’on roule ensuite sur des épines de fer brûlantes, puis on la jette dans un brazier et le père est étranglé „pour lui apprendre“, dit le libertin, „à consentir à vouloir étrangler lui-même sa fille,“ on le jette après dans le même brazier de sa fille. 103. Un grand amateur des culs et de fouet, réunit la mère et la fille, dit à la fille qu’il va tuer sa mère si elle ne consent pas à avoir les deux mains coupées, la petite y consent, on les coupe, alors, on sépare ces deux êtres-là, on lie la fille par le col à une corde les pieds sur un tabouret, au tabouret est une autre corde elle la tire sans savoir ce qu’elle fait, on la mène sur-le-champ contempler son ouvrage, et dans le moment du désespoir, on lui abat par derrière la tête d’un coup de sabre. Ce même soir Durcet jaloux du plaisir qu’ont eu la nuit passée les deux frères, veut qu’on vexe Adélaïde, dont il assure que ce sera bientôt le tour, en conséquence Curval son père et Durcet son mari lui pincent les cuisses avec des tenailles brûlantes, pendant que le duc l’encule sans pommade. On lui perce le bout de la langue, on lui coupe les deux bouts des oreilles, on lui arrache quatre dents, ensuite on la fouette à tour de bras ; ce même soir l’évêque saigne Sophie devant Adélaïde, sa chère amie, jusqu’à l’évanouissement, il l’encule en la saignant et reste tout le temps dans son cul, on coupe deux doigts à Narcisse, pendant que Curval l’encule, puis on fait paraître Marie, on lui enfonce un fer brûlant dans le cul et dans le con. On la brûle avec un fer chaud à 6 endroits
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