précipite dans la chambre, où elles sont l’épée à la main, et quand il en a tué une, il éventre l’autre et lui brûle les entrailles avec des eaux fortes, ou des morceaux de fer ardent. 141. Un homme qui aimait à fouetter des femmes grosses sur le ventre, rectifie en attachant la fille grosse sur une roue, et dessous est fixée dans un fauteuil sans pouvoir bouger la mère de cette fille, la bouche ouverte en l’air et obligée de recevoir dans sa bouche toutes les ordures, qui découlent du cadavre, et l’enfant si elle accouche. 142. Celui dont Martaine a parlé le seize janvier et qui aimait à piquer le cul, attache une fille sur une machine toute garnie de pointes de fer, il la fout là-dessus de manière qu’à chaque secousse, qu’il donne, il la cloue, ensuite il la retourne et la fout en cul pour qu’elle se pique également à l’autre côté, et il lui pousse le dos, pour qu’elle s’enferre les tetons, quand il a fait, il pose dessus elle une seconde planche également garnie, puis avec des vis les deux planches se resserrent, elle meurt ainsi écrasée et piquée de partout, ce resserrement se fait peu-à-peu, on lui donne tout le temps de mourir dans les douleurs. 143. Un fustigateur pose une femme grosse sur une table, il la cloue sur cette table en enfonçant d’abord un clou brûlant dans chaque œil, un dans la bouche, un dans chaque teton, puis il lui brûle le clitoris et le bout des tetons avec une bougie et lentement il lui scie les genoux à moitié, lui casse les os des jambes et finit par lui enfoncer un clou rouge et énorme dans le nombril, qui achève son enfant et elle, il les veut prêtes d’accoucher. — Ce soir-là on fouette Julie et Duclos, mais par amusement, puis qu’elles sont toutes deux du nombre
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