contrerez, en copiant, d’analogue à eux, cette note est très essentielle et c’est la seule façon, dont vous puissiez voir clair à votre ouvrage et éviter les redites.
Adoucissez beaucoup la première partie, tout s’y développe trop, elle ne saurait pas être trop faible et trop gazée, ne faites surtout jamais rien faire aux quatre amis qui n’ait été raconté, et que vous n’avez pas eu ce soir-là.
En la 1re partie dites, que l’homme qui fout en bouche la petite fille prostituée par son père, est celui qui fout avec un vit sale et dont elle a déjà parlé.
N’oubliez pas de placer dans décembre la scène des petites filles servant au souper venant séringuer des liqueurs dans les verres des amis, avec leurs culs, vous l’avez annoncé et n’en avez point parlé dans le plan.
Au moyen d’un tuyau on lui introduit une souris dans le con, le tuyau se retire, on coud le con, et l’animal ne pouvant sortir lui dévore les entrailles.
On lui fait avaler un serpent qui va de même la dévorer. En général peignez Curval et le duc deux scélérats fougueux et impétueux, c’est comme cela que vous les avez pris dans 1re partie, et dans le plan, et peignez l’évêque, un scélérat froid raisonné et endurci, pour Durcet, il doit être taquin, faux, traître et perfide, faites leur faire d’après cela tout ce qui devient analogue à ces créatures-là. Récapitulez avec soin les noms et