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Page:Sade - Les crimes de l'amour, Nouvelles héroïques et tragiques, tome 1, 1799.djvu/51

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Quand à la Conspiration d’Amboise, qu’on la lise dans Garnier, et l’on verra le peu que nous a prêté l’histoire.

Aucun guide ne nous a précédé dans les autres nouvelles, fonds, narré, épisode, tout est à nous ; peut-être n’est-ce pas ce qu’il y a de plus heureux ; qu’importe, nous avons toujours cru, et nous

    Léonore, et qu’interrompt la circonstance du cadavre trouvé dans la tour ; les contre-facteurs de cet épisode, en le copiant mot pour mot, n’ont pas manqué de copier aussi les quatre premières lignes de cette anecdote, qui se trouvent dans la bouche du chef des Bohémiens. Il est donc aussi essentiel pour nous, dans ce moment-ci, que pour ceux qui achètent des romans, de prévenir que l’ouvrage qui se vend chez Pigoreau, et Leroux sous le titre de Valmore et Lidia, et chez Cérioux et Moutardier, sous celui d’Alzonde et Koradin, ne sont absolument que la même chose, et tous les deux littéralement pillés phrase pour phrase de l’épisode de Sainville et Léonore, formant à-peu-près trois volumes de mon roman d’Aline et Valcourt.