foutre écumeux, jusqu’au fond de son ame embrâsée,
elle n’existe que pour les recevoir… ahe,
ahe, ahe, foutre… foutre, quel incroyable excès
de volupté, je me meurs ; Eugénie, que je te
baise, que je te mange… que je dévore ton foutre
en perdant le mien, (Augustin, Dolmancé et
le Chevalier font chorus, la crainte d’être monotones,
nous empêche de rendre des expressions
qui dans de tels instans se ressemblent
toutes).
Voilà une des bonnes jouissances que j’ai eu de ma vie, (montrant Augustin), ce bougre là m’a rempli de sperme… Mais je vous l’ai bien rendu, madame.
Ah ! ne m’en parlez pas, j’en suis inondée.
Je n’en peux pas dire autant, moi, (se jettant en folâtrant dans les bras de son amie), tu dis que tu as fait bien des péchés, ma bonne ; mais