ainsi les droits de la propagation, et contrarier
de cette manière ce que les sots appellent
les loix de la nature, est vraiment plein d’appas,
les cuisses, les aisselles servent quelquefois
aussi d’asyle au membre de l’homme, et
lui offrent des réduits où sa semence peut se
perdre sans risque de grossesse.
Quelques femmes s’introduisent des éponges dans l’intérieur du vagin qui, recevant le sperme, l’empêche de s’élancer dans le vase qui le propagerait, d’autres obligent leurs fouteurs de se servir d’un petit sac de peau de Venise, vulgairement nommé condom, dans lequel leur semence coule sans risquer d’atteindre le but ; mais de toutes ces manières, celle du cul est la plus délicieuse, sans doute. Dolmancé, je vous en laisse la dissertation, qui doit mieux peindre que vous un goût pour lequel vous donneriez vos jours, si on les exigeait pour sa défense ?
J’avoue mon foible ? il n’est, j’en conviens