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minel, jamais. Nous reviendrons sur toutes ces choses, analysons, en attendant, pour la belle Eugénie, la jouissance sodomite qui fait maintenant l’objet de notre entretien. La posture la plus en usage pour la femme dans cette jouissance, est de se coucher à plat ventre sur le bord du lit, les fesses bien écartées, la tête la plus basse possible, le paillard, après s’être un instant amusé de la perspective du beau cul que l’on présente, après l’avoir claqué, manié, quelquefois même fouetté, pincé, mordu, humecte de sa bouche le trou mignon qu’il va perforer, et prépare l’introduction avec le bout de sa langue, il mouille de même son engin avec de la salive ou de la pommade, et le présente doucement au trou qu’il veut percer, il le conduit d’une main, de l’autre il écarte les fesses de sa jouissance ; dès qu’il sent son membre pénétrer, il faut qu’il le pousse avec ardeur, en prenant bien garde de perdre du terrain ; quelquefois la femme souffre alors, si elle est neuve et jeune ; mais sans aucun égard pour des douleurs qui vont bientôt se

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