fortune, donne bien, si l’on veut, de l’essor
à cette férocité où certaines femmes sont naturellement
entraînées ; mais cela est faible et
souvent beaucoup trop loin du besoin qu’elles
ont de faire pis. Il y aurait, sans doute, d’autres
moyens par lesquels une femme, à la fois
sensible et féroce, pourrait calmer ses fougueuses
passions ; mais ils sont dangereux,
Eugénie, et je n’oserais jamais te les conseiller…
Oh ciel ! qu’avez-vous donc, cher
ange ?… Madame, dans quel état voilà votre
élève ?
Ah ! sacredieu, vous me tournez la tête… Voilà l’effet de vos foutus propos.
Au secours, Madame, au secours… laisserons-nous donc décharger cette belle enfant sans l’aider.
Oh ! ce serait injuste (la prenant dans ses bras) ; adorable créature, je n’ai jamais vu une