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agréable ; recherchant un temple plus mystérieux, c’est souvent ici (elle écarte ses fesses et montre le trou de son cul) que le libertin cherche à jouir : nous reviendrons sur cette jouissance la plus délicieuse de toutes ; la bouche, le sein, les aisselles lui présentent souvent encore des autels où brûle son encens ; et quel que soit enfin celui de tous les endroits qu’il préfère, on le voit, après s’être agité quelques instans, lancer une liqueur blanche et visqueuse dont l’écoulement plonge l’homme dans un delire assez vif pour lui procurer les plaisirs les plus doux qu’il puisse espérer de sa vie.

Eugénie.

Oh que je voudrais voir couler cette liqueur !

Madame de Saint-Ange.

Cela se pourrait par la simple vibration de ma main ; vois comme il s’irrite à mesure que je le secoue, ces mouvemens se nomment pollution, et en terme de libertinage cette action s’appelle branler.