Si l’on fait usage de ces données, l’on trouve qu’en agissant sur un kilogramme d’alcool aux températures 78°,7 et 77°,7, la puissance motrice développée serait 0,251 unités.
Elle résulte de l’emploi de 207 unités de chaleur. Pour 1000 unités il faut poser la proportion
Ce nombre est un peu plus fort que 1,112 résultant de l’emploi de la vapeur d’eau aux températures 100° et 99°. Mais si l’on suppose la vapeur d’eau employée aux températures 78° et 77°, on trouve, en faisant usage de la loi de MM. Clément et Desormes, 1,212 pour la puissance motrice due à 1000 unités de chaleur. Ce dernier nombre se rapproche, comme on voit, beaucoup de 1,230 ; il n’en diffère que de 150.
gers changemens de température. Ils avaient en vue l’application des nouveaux liquides à la production de la puissance motrice. (V. Annales de chimie et de physique, janvier 1824, p. 80.) D’après la théorie ci-dessus exposée, l’on peut prévoir que l’emploi de ces liquides ne présenterait pas d’avantages relativement à l’économie de la chaleur. Les avantages ne pourraient se rencontrer que dans la basse température, à laquelle il serait possible d’agir, et dans les sources où, par cette raison, il deviendrait possible de puiser le calorique.