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TABLE DES POÉSIES
- En juste gain. (Douze baisers gaignés au jeu.)
- Estimez -vous que les plus belles
- Fidélité vertu peu fréquentée
- Hosteliers, vos hostes passants
- Ja commencent la vermeille
- Il n’est mal comparable
- Il n’est point vray que pour
- Je prie à Dieu qu’il vous doint. (Souhaicts.)
- Je pry à Dieu qu’il vous donne. (Contraire.)
- Je prie à Dieu. (Contre un envieux.)
- Je vous requiers, ma mie. (Une qui faisoit la jeune.)
- Le roy, le pape et le prince Germain. (Pasquin.)
- Le roy prochain du céleste pouvoir
- Memoire à mon solliciteur
- N’oubliez à vous confesser
- Œil attrayant, œil arresté
- O que d’ennui à mes yeux
- O luth, plus estimé présent
- Or a hiver avecques sa froidure. (Ode d’Horace.)
- Or est venu après. (A Mlle de Taillard.)
- Puisque de vous j’ay appris les eschecs
- Puisque Venus des humains
- Pour m’eslongner et changer
- Pour tous les biens qui sont. (A une mal contente.)
- Preste à combattre au lict. (Mlle de Taillard.)
- Quand je vy la belle Gatin. (Epigr. de Martial)
- Qu’est-ce qu’Amour, est-ce une deité
- Si celle de qui je me deuls
- Si je me sentois tant valoir
- Si je suis un peu casse. (Sur une guiterre.)
- Si j’eusse osé penser qu’en ce temps-ci
- Si tu fus seul de ta mere enfanté
