Page:Saint-Martin - Esprit de Saint-Martin, 1836.djvu/14

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

enfin ses regards vers le ciel3. Ils verront que tu en viens, et que, sans doute, tu y es retourné.

Quelques pages de toi, dégagées de ces nuages souvent impénétrables dont tu t’es environné, leur persuaderont que tu avais une mission céleste, que le malheur des temps et la perversité des hommes t’empêchèrent de remplir. Ces pages, je me chargerai de les faire connaître. Si mon siècle ne veut pas les payer, je les lui donnerai, j« les jeterai sur son passage, je les lirai à ceux qui viendront me voir, je mourrai dans cette conviction, que je n’ai rien tenté en ma vie de plus utile et de meilleur.