Page:Saint-Martin - Esprit de Saint-Martin, 1836.djvu/16

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NOTES.

1 Veut-on aYoir une idée de cette obscurité pour 1« grand nombre, et de ce que iious avons cru devoir retrancher ? En voici un exemple : « Quel est le tableau des choses ? — D’un côté, il y a un, quatre, sept, huit et « dix ; de Fautre, il y a deux, trois, cinq, six et neuf. Tout est là pour le présent, malgré les faux calculs « d’un peuple célèbre qui n’a suivi que l’arithmétique. « 

Quelle proie pour la critique et pour l’esprit frivole et moqueur ! et cependant, lisez le reste.

Dès-lors, il s’écriait : « Doctrine humaine, doctrine humaine, laisse aller mon peuple, pour qu’il me puisse « offrir ses sacrifices. »

Dès-lors, il disait encore ces mots pleins d’âme et de tendresse sainte et sublime : « Sois bénie à jamais, sois « bénie, sagesse bienfaisante qui viens de me rendre « la vie ! Laisse-moi te saisir, laisse-moi coller mes