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vos joies, vous croiriez encore moins avoir des larmes à verser ; je serais complice de vos déceptions, et je vous donnerais la main pour descendre encore plus profondément dans l’abyme.
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Venez, hommes affligés, venez, vous tous qui gémissez sur l’énormité du mal. Pleurons ensemble, ne nous donnons aucun repos, que l’aiguillon de la charité n’ait pénétré jusqu’aux sources de notre vie.
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Quand notre cœur aura saigné, quand notre sang aura lavé les plaies de quelquesuns de nos frères, alors nous pourrons chanter des cantiques de jubilation.