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doute est un lézard de désirs purs… épanoui lézard qu’une étincelle d’œil ferait s’évanouir ?
Sur le silence des ongles inférieurs, noyé dans ce saule propice, admirons la Pèlerine de la langue et de la racine qui s’achemine en la luzerne.
Oh ! cela coule sur des cailloux, arrondis par l’obséquieuse politesse, suggérant les chauves jabotés sans leur perruque printanière.
L’azur inclus est, n’est-ce point ? la perceptible remembrance des prunelles nymphales qui s’y séduisirent.
Admirons sans s’y mirer, et de loin sourions, de peur d’effaroucher…
Combien joli de sourire à du rire qui glisse ainsi que des larmes divines de martyres fines !