Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/139

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Luz, 72 ; revient avec les deux princes ses frères ; quitte ceux-ci et retourne à la cour, 73 ; tombe malade à Saint-Aignan où il est à l’extrémité, 82 ; est guéri par le médecin Helvétius et revient à Versailles ; comment il y est reçu, 83 ; est nommé grand d’Espagne de première classe pour lui et pour les siens mâles et femelles, 155, sa conduite honorable envers la seconde femme du duc de Saint-Aignan et de ses enfants, IV, 77 ; marie sa fille au duc de Mortemart ; pourquoi ce mariage fait l’étonnement du public, 214 ; il perd ses deux fils par la petite vérole ; affliction de M. et de Mme de Beauvilliers ; leur résignation, V, 75 ; adopte comme fils unique son frère cadet du second lit ; lui cède son duché, lui fait prendre le nom de duc de Saint-Aignan ; le marie à Mlle de Besmaux ; famille de cette demoiselle, 268 ; amitié de M. et de Mme de Beauvilliers pour ces deux époux, 269 ; comment ils travaillent tous deux au mariage du fils du ministre Chamillart avec la fille de la duchesse de Mortemart, VI, 162 ; raisons qui auraient dû les empêcher de songer à cette alliance, 165, cris, qui s’élèvent contre lui à la cour, contre ce mariage et sur la nomination de Desmarets à la place de contrôleur général ; sa tranquillité, 177 ; sa conversation avec le duc de Saint-Simon sur la destination de Mgr le duc de Bourgogne nommé pour aller commander l’armée de Flandre ayant M. de Vendôme sous ses ordres, 221 et suiv. ; est chargé par le roi de lui chercher avec le duc de Chevreuse un confesseur parmi les jésuites ; accorde à Mme de Maintenon que l’évêque de Chartres et le curé de Saint-Sulpice seront admis pour conférer avec eux sur ce choix, VII, 50 ; le choix s’arrête sur le P. Tellier, 51 ; averti par M. de Saint Simon que le duc d’Harcourt est sur le point d’entrer au conseil, et que, si ce projet a lieu, sa disgrâce en sera la suite, M. de Beauvilliers suit l’avis que lui donne M. de Saint-Simon, parle au roi et fait avorter le projet, 105 et suiv. ; est chargé par le roi d’aller demander à Chamillart la démission de sa charge, 245 ; veut vainement s’en décharger ; prie le roi de trouver bon qu’il s’associe dans cette triste commission le duc de Chevreuse : tous deux vont trouver Chamillart ; détail à ce sujet, 246 et suiv. ; est d’avis dans un conseil tenu à Marly qne le roi rappelle ses troupes d’Espagne, 284 ; son entretien avec M. de Saint Simon sur ce sujet et sur les cabales qui divisent la cour, 288 ; conseils qu’il en reçoit sur la conduite qu’il doit tenir, 289 et suiv. ; confidence qu’il fait au même sur l’abbé de Polignac, VIII, 103 et suiv. ; avec l’agrément du roi, il donne sa charge de premier gentilhomme de la chambre au duc de Mortemart son gendre, 113 ; représente à M. de Saint-Simon combien il importe au succès du mariage de Mademoiselle avec le duc de Berry que la duchesse d’Orléans la fasse paraître à la cour ; il le presse de le faire sentir à la duchesse, 139 ; sa fermeté préserve Livry, son beau-frère, de la perte de sa charge, 141 ; son entretien à Vaucresson avec M. de Saint-Simon sur Mgr le duc de Bourgogne ; il presse instamment son ami de mettre par écrit ce qui lui semble de la conduite du prince et ce qu’il estime y devoir corriger et ajouter, 173 ; texte du discours de M. de Saint-Simon sur Mgr le duc de Bourgogne adressé à M. le duc de Beauvilliers, 175-205 ; il est approuvé en tout, 211 ; M. de Beauvilliers veut le montrer au prince ; M. de Saint-Simon n’y peut consentir ; M. de Chevreuse choisi pour juge, 211 ; M. de Beauvilliers opine dans le conseil des finances pour l’adoption du projet de dîme présenté par Desmarets, IX, 11 ; il fait deux charges de sa charge de premier gentilhomme de la chambre de M. le duc de Berry ; fait présent de l’une au duc de Saint-Aignan, son frère, vend l’autre à M. de Béthune, gendre de Desmarets, 30 ; son inquiétude le jour de la réception de M. de Saint-Aignan son frère en qualité de duc est dissipée par M. de Saint-Simon, 66 et suiv. ; son air tranquille et froid à la mort de Monseigneur, 124 ; changement opéré dans sa situation, 287 ; il conserve toujours son caractère de sagesse, de douceur et de modération, 288 ; sa conduite envers les courtisans qui s’empressent autour de lui, il cherche à s’attacher davantage le Dauphin, et à s’approcher de la Dauphine, 297 ; se sert souvent de son beau-frère le duc de Chevreuse pour faire agréer au Dauphin des choses qu’il n’ose présenter lui-même, 299 ; son crédit auprès du prince ; quel changement il opère dans toute sa conduite, 300 ; situation brillante de M. de Beauvilliers ; dans quels termes il est avec les ministres, 331 ; ce qu’il pense de Torcy, 333 ; de Desmarets, de La