filles de Saint-Thomas-de-Villeneuve avoient la direction de cette communauté[1].
LES RELIGIEUSES DE NOTRE-DAME-DES-PRÉS.
Nous sommes parvenus, en décrivant ces diverses institutions, jusqu’à l’extrémité occidentale du quartier ; il faut maintenant y rentrer par la rue de Vaugirard, pour parvenir à son extrémité opposée. Cette partie de son territoire renferme les plus remarquables de ses édifices et de ses établissements.
Le premier monastère qui se présentoit autrefois à l’extrémité de cette rue, étoit celui des religieuses de Notre-Dame-des-Prés : il tiroit son origine d’un couvent de religieuses bénédictines, fondé en 1627, à Mouzon, dans le diocèse de Reims, par madame Henriette de La Vieuville,
1 Ses bâtiments servent maintenant d’hôpital aux pauvres enfants malades.