Au dessus des stalles, et entre les vitraux :
La Résurrection du Lazare ; par Bon Boullogne.
L’Aveugle de Jéricho ; par Antoine Coypel.
Le Miracle des cinq pains ; par Audran.
La Samaritaine ; par Noël Coypel.
La Cananéenne ; par Corneille.
La Résurrection du Lazare ; par le même.
La Guérison des malades sur les bords du lac de Génésareth ; par Jouvenet.
La Femme affligée du flux de sang et guérie en touchant la robe de Notre-Seigneur ; par Boullogne le jeune.
Le Centenier ; par Corneille.
Le Paralytique ; par le même.
Saint Jacques, saint Jean et leur père Zébédée raccommodant leurs filets ; par Dumont Le Romain.
Jésus-Christ ressuscitant la fille de Jaïre ; par La Fosse.
- Dans le chapitre :
L’Adoration des Bergers ; par Le Poussin.
La Magdeleine et le Sauveur ; par Le Sueur.
Saint Bruno ; par Restout.
La Nativité de saint Jean-Baptiste, celle de Jésus-Christ et sa sépulture ; par d’anciens peintres.
La Présentation au temple ; par Lagrenée jeune.
L’Entrée de Notre-Seigneur dans Jérusalem ; par Jollain.
Sur l’autel, fait en forme de tombeau, un Christ ; par Philippe de Champagne.
Dans le petit cloître, les fameux tableaux de Le Sueur, représentant la vie de saint Bruno, arrangés dans l’ordre suivant :
1o Le Docteur Raymond Diocres prêchant au milieu d’un nombreux auditoire qui l’écoute avec attention.
2o Le Docteur au lit de mort.
3o Le même personnage sortant à demi de son cercueil pendant qu’on chante l’office des morts[1], et déclarant lui-même l’arrêt de sa damnation.
- ↑ Personne n’ignore que ce prétendu miracle, lequel donna lieu, dit-on, à la retraite de saint Bruno et à l’institution de son ordre, est mis au nombre des fables par les meilleurs critiques.