Page:Sainte-Beuve - Causeries du lundi, IV, 1852.djvu/50

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

par un mutuel transport, et que la force des choses avait pu seule lui arracher ; cette Sophie qu’il avait embrasée, qu’il avait enivrée d’émotions fortes, et à laquelle il laissa, en la quittant, la robe dévorante du Centaure, l’ardeur fatale qui ne s’éteint plus.

Ce n’est point un adieu que je dis ici à Mirabeau. Je sais qu’une prochaine occasion se prépare de parler du Mirabeau politique et définitif, et je compte bien ne pas la manquer.