Page:Sainte-Beuve - Le Clou d’or, 1881.djvu/63

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Voilà des pages remplies, je ne sais si je vous les enverrai, je crois que non. Vous affliger en vous blessant, ou bien vous affliger par mon silence en vous attrisatnt [sic] simplement et vous donnant à croire à de la négligence ! — Je ne sais encore, et le hasard en décidera. Adieu ! adieu !