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À LA PRINCESSE
et je ne suis pas sûr de l’état où me laisse cette fin d’accouchement. Il y a des jours où je ne suis bon qu’à rester sur mon canapé ou à rôder sur mon boulevard. Si je puis, à coup sûr j’irai.
Il y a bien du hasard jusqu’à la fin dans ces nominations de fête ou de jour de l’an. Le tort de M. D… est d’avoir dit à Limayrac : « Partez, et soyez tranquille ! » On a droit toujours de refuser, de motiver ses ajournements, mais on ne doit jamais leurrer.
Je prendrai part, Princesse, à toutes ces solennités où vous serez, et de loin je me permettrai d’entrer dans quelques-unes de vos pensées, de vos réflexions.
Daignez agréer, Princesse, l’expression de mon respectueux attachement.
J’adresse ma lettre à Paris, croyant que c’est le plus court.