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À LA PRINCESSE
Je vais, dès ce matin, me présenter chez M. Rouher. — Ce soir, j’aurai l’honneur de vous saluer dans la soirée au Théâtre-Français[1].
Je baise vos mains, Princesse, et suis tout à vous de respect et d’attachement.
CVIII
Ce lundi matin 29.
Princesse,
M. Giraud m’a, bien promis d’être de retour pour mercredi : il ne fait cette fois qu’une petite inspection, il sera des vôtres. — C’est lui qui, avant-hier, m’a fait lire le premier, en venant me voir à dix heures du matin, le Moniteur[2] que je n’avais pas encore reçu. J’ai été affligé, votre mot est juste, Princesse ; la lettre en elle-même est excessive ; l’insertion au Moniteur