libre, j’espère, un peu plus tôt, et je pourrai arriver à Saint-Gratien, délivré de tous soins et heureux, Princesse, de vous saluer.
J’envoie devant mes hommages avec l’expression de mon respectueux et tendre attachement.
CXI
J’écris à M. Giraud lui-même pour lui demander une explication. Je soupçonne que c’est seulement une mesure d’âge. Le coquet ne nous en aura rien dit. Si c’est cela, la loi est absurde qui inutilise de tels hommes dans la chaire avant le temps.
La jeunesse, de tout temps, a été outrecuidante, mais de nos jours, et littérairement, cela passe tout. Le plaisant est qu’ils veulent faire d’une pierre deux coups et mettre leurs plaisirs en art, leurs polissonneries en pièces de vers ou de comédie, pour qu’on les applaudisse par-dessus le marché et y gagner honneur et argent. C’est trop. Le jeune de M… est un charmant